demaita
2327

Pape Honorius Ier : HÉRÉTIQUE

Histoire de la condamnation pour hérésie. Bref historique : Constantin, dans la lutte pour la succession comme empereur de Rome, gagna Maxence en 312 lors de la bataille du pont Milvius, près de Rome …Plus
Histoire de la condamnation pour hérésie. Bref historique :
Constantin, dans la lutte pour la succession comme empereur de Rome, gagna Maxence en 312 lors de la bataille du pont Milvius, près de Rome. Pour son rêve: "in hoc signo vinces" il fit placer le signe de la croix chrétienne sur ses drapeaux, et après la victoire, avec l'édit de Milan en 313 il mit fin aux persécutions contre les chrétiens, proclama la liberté de religion, et restitua aux chrétiens leurs églises et leurs propriétés confisquées par les précédents empereurs romains.
En 330, la considérant militairement plus sûre, il déplaça la capitale de l'empire de Rome à Byzance, appelée plus tard Constantinople, qui devint ainsi la ville la plus importante de l'empire.
En 630 le Patriarche de Constantinople : Serge, tenta de reconnecter le groupe des « monophysites » (ce sont ceux qui affirment qu'en Jésus-Christ : il n'y a qu'une seule nature : ce qui est contraire au dogme de la Foi qui affirme qu'en Jésus-Christ il y a là …Plus
Romano Pasquino
Saint Alphonse Marie de' Liguori n'a jamais été archevêque.
Il a été évêque du diocèse de Sainte Agathe des Goths, aujourd'hui réuni au diocèse de Cerreto Sannita-Telese.
Cf. Bishop St. Alfonso Maria de’ Liguori [Catholic-Hierarchy]
Arthur De la Baure
Saint Alphonse de LIGUORI (1696-1787), archevêque et docteur de l'Eglise :
« Cette déclaration a été regardée par les hérétiques et quelques écrivains orthodoxes comme l'écueil d'Honorius, une preuve de monothélisme. Ils sont certainement dans l'erreur... C'est précisément ce qu'écrivit Jean IV, dans l'apologie qu'il fit en faveur d'Honorius à l'empereur Constantin II. [...] La défense du …Plus
Saint Alphonse de LIGUORI (1696-1787), archevêque et docteur de l'Eglise :
« Cette déclaration a été regardée par les hérétiques et quelques écrivains orthodoxes comme l'écueil d'Honorius, une preuve de monothélisme. Ils sont certainement dans l'erreur... C'est précisément ce qu'écrivit Jean IV, dans l'apologie qu'il fit en faveur d'Honorius à l'empereur Constantin II. [...] La défense du Souverain Pontife a encore été prise par Saint Maxime, dans son dialogue avec Pyrrhus, et par Anastase le bibliothécaire. […]
Cependant nous ne nions pas qu'Honorius ait été coupable en imposant silence à qui parlait d'une ou de deux volontés; quand il s'agit d'erreur, c'est la favoriser que de se taire. Une erreur, il faut l'amener au grand jour et la terrasser : ici est la faute d'Honorius. Au reste il est indubitable qu'il n'embrassa jamais l'hérésie des monothélites, quoiqu'en disent ses adversaires et spécialement Guillaume Cave. Laterem lavant, operam oleumque perdant, quotquot Honorium ob haeresim monothetiticam... hâc lobe eximere allaborant. Ce qui est absolument faux, comme le prouve clairement le savant P. Noel Alexandre.»

Cardinal saint Robert BELLARMIN (1542-1621), Confesseur et Docteur de l'Eglise universelle, archevêque et conseiller du Pape Clément VIII :
« Il est probable et on peut le croire pieusement, que le souverain pontife, non seulement ne peut pas errer en tant que Pape, mais aussi qu'il ne pourra point être hérétique ou croire avec pertinacité une quelconque erreur dans la foi en tant que simple particulier (particularem personam). […] Cela se prouve deuxièmement de par l'événement, car jusqu'à ce jour, nul n’a été hérétique. »

- Cardinal Bartolemo d'AVANZO (1811-1884), évêque de Calvi et Teano, membre de la Députation de la foi au Concile Vatican I :
« L’orthodoxie d’Honorius fut un fait dogmatique, défini et enseigné par l’autorité légitime des Pontifes, des Conciles, de la sainte Eglise Romaine, de tout l’Occident pendant l'espace de plus de 40 ans avant le Concile; ... l’orthodoxie d’Honorius demeure toujours incontestable. »