APOCALYPSE 8 - PERE NATHAN. Père Nathan lit et commente le Livre de l'Apocalypse de Saint Jean Huitième partie : Apocalypse 5, 1-14 & 6, 1-8 « Je vois à la droite de celui qui est assis sur le trône …More
APOCALYPSE 8 - PERE NATHAN.
Père Nathan lit et commente le Livre de l'Apocalypse de Saint Jean
Huitième partie : Apocalypse 5, 1-14 & 6, 1-8
« Je vois à la droite de celui qui est assis sur le trône, un livre qui est écrit devant et derrière, scellé de sept sceaux.
Je vois un ange d’une très grande force et il clame à grande voix : « Qui mérite d’ouvrir le livre et d’en délier les sceaux ? »
Personne ne peut, ni au ciel, ni sur terre, ni sous terre, ouvrir le livre ni le regarder.
Je pleure beaucoup, parce que personne ne se trouve, qui puisse être digne d’ouvrir le livre et même de le regarder.
Un des anciens me dit : « Ne pleure pas ! Voici, il a vaincu le Lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, pour ouvrir le livre et ses sept sceaux. »
Alors je vois au milieu du trône et des quatre Vivants, et au milieu des Anciens, un Agneau debout, comme égorgé, ayant sept cornes et sept yeux ; ce sont les sept Souffles d’Elohim, envoyés sur toute la terre.
Il vient, il le reçoit de la droite de Celui qui est assis sur le trône. Quand il prend le livre, les quatre Vivants et les vingt-quatre Vieillards tombent en face de l’Agneau. Ils ont chacun une cithare, et des coupes d’or pleines d’encens. Ce sont les prières de saints.
Ils chantent un poème nouveau et ils disent : « Tu es digne de recevoir le livre et d’en ouvrir les sceaux, parce que tu as été égorgé et que tu as racheté pour Elohim, par ton sang, toute tribu, langue, peuple et nation.
Tu as fait d’eux, pour notre Elohim, un royaume et des desservants, ils règneront sur la terre. »
Je vois et j’entends la voix des anges innombrables autour du trône et des Vivants et des Anciens. Leur nombre : des milliers de milliers, des myriades de myriades.
Ils disent à voix très forte : « L’Agneau égorgé est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, la splendeur, la gloire, la bénédiction. »
Toute créature au ciel, sur la terre, sous la terre et sur la mer, et tout ce qui s’y trouve, je les entends dire : « A Celui qui est assis sur le trône et à l’Agneau : bénédiction, splendeur, gloire, puissance, pour les éternités des éternités. »
Et les quatre Vivants disent : « Amen ». Et les vingt-quatre Vieillards tombent et se prosternent. »
Je vois, quand l’Agneau ouvre le premier des sept sceaux, et j’entends le premier des quatre Vivants dire dans une voix de tonnerre : « Viens ! ».
Je vois et voici un cheval, un blanc. Celui qui est assis dessus a un arc. Une couronne lui a été donnée. Il sort en vainqueur et pour vaincre encore.
Et quand il ouvre le deuxième sceau, j’entends le deuxième Vivant dire : « Viens ! ».
Sort un autre cheval, un rouge. A celui qui est assis dessus, il a été donné de prendre la paix hors de la terre, pour qu’ils s’égorgent les uns les autres, et il lui a été donné un grand glaive.
Quand il ouvre le troisième sceau, j’entends le troisième Vivant dire : « Viens ! ».
Je vois, et voici un cheval, un noir. Celui qui est assis dessus a une balance dans la main.
J’entends comme une voix au milieu des quatre Vivants. Elle dit : « Un denier la chénice de blé ! Un denier les trois chénices d’orge ! Pas d’injustice avec l’huile et le vin ! ».
Quand il ouvre le quatrième sceau, j’entends la voix du quatrième Vivant dire : « Viens ! ». Et voici un cheval, un vert. Celui qui est assis dessus, son nom : la mort ; le shéol le suivait. Puissance leur a été donnée sur le quart de la terre, de tuer par le glaive, par la famine, par la mort, par les bêtes de la terre. » (5, 1-14 & 6, 1-8)
Père Nathan lit et commente le Livre de l'Apocalypse de Saint Jean
Huitième partie : Apocalypse 5, 1-14 & 6, 1-8
« Je vois à la droite de celui qui est assis sur le trône, un livre qui est écrit devant et derrière, scellé de sept sceaux.
Je vois un ange d’une très grande force et il clame à grande voix : « Qui mérite d’ouvrir le livre et d’en délier les sceaux ? »
Personne ne peut, ni au ciel, ni sur terre, ni sous terre, ouvrir le livre ni le regarder.
Je pleure beaucoup, parce que personne ne se trouve, qui puisse être digne d’ouvrir le livre et même de le regarder.
Un des anciens me dit : « Ne pleure pas ! Voici, il a vaincu le Lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, pour ouvrir le livre et ses sept sceaux. »
Alors je vois au milieu du trône et des quatre Vivants, et au milieu des Anciens, un Agneau debout, comme égorgé, ayant sept cornes et sept yeux ; ce sont les sept Souffles d’Elohim, envoyés sur toute la terre.
Il vient, il le reçoit de la droite de Celui qui est assis sur le trône. Quand il prend le livre, les quatre Vivants et les vingt-quatre Vieillards tombent en face de l’Agneau. Ils ont chacun une cithare, et des coupes d’or pleines d’encens. Ce sont les prières de saints.
Ils chantent un poème nouveau et ils disent : « Tu es digne de recevoir le livre et d’en ouvrir les sceaux, parce que tu as été égorgé et que tu as racheté pour Elohim, par ton sang, toute tribu, langue, peuple et nation.
Tu as fait d’eux, pour notre Elohim, un royaume et des desservants, ils règneront sur la terre. »
Je vois et j’entends la voix des anges innombrables autour du trône et des Vivants et des Anciens. Leur nombre : des milliers de milliers, des myriades de myriades.
Ils disent à voix très forte : « L’Agneau égorgé est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, la splendeur, la gloire, la bénédiction. »
Toute créature au ciel, sur la terre, sous la terre et sur la mer, et tout ce qui s’y trouve, je les entends dire : « A Celui qui est assis sur le trône et à l’Agneau : bénédiction, splendeur, gloire, puissance, pour les éternités des éternités. »
Et les quatre Vivants disent : « Amen ». Et les vingt-quatre Vieillards tombent et se prosternent. »
Je vois, quand l’Agneau ouvre le premier des sept sceaux, et j’entends le premier des quatre Vivants dire dans une voix de tonnerre : « Viens ! ».
Je vois et voici un cheval, un blanc. Celui qui est assis dessus a un arc. Une couronne lui a été donnée. Il sort en vainqueur et pour vaincre encore.
Et quand il ouvre le deuxième sceau, j’entends le deuxième Vivant dire : « Viens ! ».
Sort un autre cheval, un rouge. A celui qui est assis dessus, il a été donné de prendre la paix hors de la terre, pour qu’ils s’égorgent les uns les autres, et il lui a été donné un grand glaive.
Quand il ouvre le troisième sceau, j’entends le troisième Vivant dire : « Viens ! ».
Je vois, et voici un cheval, un noir. Celui qui est assis dessus a une balance dans la main.
J’entends comme une voix au milieu des quatre Vivants. Elle dit : « Un denier la chénice de blé ! Un denier les trois chénices d’orge ! Pas d’injustice avec l’huile et le vin ! ».
Quand il ouvre le quatrième sceau, j’entends la voix du quatrième Vivant dire : « Viens ! ». Et voici un cheval, un vert. Celui qui est assis dessus, son nom : la mort ; le shéol le suivait. Puissance leur a été donnée sur le quart de la terre, de tuer par le glaive, par la famine, par la mort, par les bêtes de la terre. » (5, 1-14 & 6, 1-8)
