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cath.jouenne
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APOCALYPSE 12 - PERE NATHAN. Père Nathan lit et commente le Livre de l'Apocalypse de Saint Jean Douzième partie : Apocalypse 10, 1 à 13, 5 « Je vois un autre ange, fort. Il descend du ciel enveloppé …More
APOCALYPSE 12 - PERE NATHAN.

Père Nathan lit et commente le Livre de l'Apocalypse de Saint Jean

Douzième partie : Apocalypse 10, 1 à 13, 5


« Je vois un autre ange, fort. Il descend du ciel enveloppé d’une nuée, l’arc-en-ciel sur sa tête, son visage semblable au soleil, ses pieds semblables à des colonnes de feu.

Il a dans sa main un petit volume ouvert. Il met le pied droit sur la mer et le gauche sur la terre.

Il crie à voix forte comme rugit le lion. Et quand il a crié, les sept tonnerres parlent de leur voix.

Quand les sept tonnerres ont parlé, je vais écrire, mais j’entends : « Scelle ce dont les sept tonnerres ont parlé. Ne l’écris pas ! »

L'ange que j’avais vu debout sur la mer et sur la terre lève sa main droite vers le ciel et jure par le Vivant pour les pérennités de pérennités, qui a créé le ciel et ce qui est en lui, la terre et ce qui est en elle, la mer et ce qui est en elle : « Il n’est plus temps !

Mais au jour du septième ange, de sa voix, quand il sera à sonner, il sera achevé, le mystère d’Elohim, comme il l’a annoncé à ses serviteurs, les inspirés. »

La voix que j’avais entendue venant du ciel me parle de nouveau derrière moi et dit : « Va et prends le volume ouvert dans la main de l'ange debout sur la mer et sur la terre. »

Je m’en vais vers l'ange. Je lui dis de me donner le petit volume. Il me dit : « Prends et dévore ceci. Il rendra ton ventre amer, mais dans ta bouche, il sera doux comme du miel. »

Je prends le petit volume de la main de l'ange et je le dévore. Il est dans ma bouche comme du miel, doux. Mais quand je l’ai mangé, mon ventre devient amer.

Ils me disent : « Il te faut encore être inspiré pour les peuples, les nations, les langues, et de nombreux rois. »

Un roseau m’est donné, semblable à un bâton. Il est dit : « Éveille-toi, mesure le sanctuaire d’Elohim, l’autel et ceux qui s’y prosternent.

Le parvis hors du sanctuaire, jette-le dehors, ne le mesure pas : il a été donné aux goim, et la cité du sanctuaire, ils la fouleront quarante-deux mois.

Je donnerai à mes deux témoins d’être inspirés mille deux cent soixante jours, vêtus de sacs. »

Ce sont eux les deux oliviers et les deux lampes ; ils se tiennent en face de l’Adon de la terre.

Si quelqu’un veut leur nuire, un feu sort de leur bouche et dévore leurs ennemis. Si quelqu’un veut leur nuire, il lui faut être ainsi tué.

Ceux-là ont la puissance de fermer le ciel : aucune pluie ne tombera aux jours de leur inspiration. Ils ont puissance sur les eaux pour les changer en sang, et de frapper la terre de toute plaie aussi souvent qu’ils veulent.

Quand ils finissent leur témoignage, la bête, montant de l’abîme, fera contre eux la guerre. Elle les vaincra et les tuera.

Leur cadavre est sur la place de la grande cité qui est appelée, en souffle, « Sedom » et « Misraim », là où leur Adon a été crucifié.

Les peuples, les tribus, les langues et les nations regardent leurs cadavres trois jours et demi, et leurs cadavres, ils ne les laissent pas mettre au tombeau.

Les habitants de la terre se réjouissent d’eux, ils exultent ; ils s’envoient, les uns aux autres, des présents, parce que ces deux inspirés tourmentaient les habitants de la terre.

Après les trois jours et demi, un souffle de vie venu d’Elohim entre en eux. Ils se dressent sur leurs pieds ; un grand frémissement tombe sur ceux qui les contemplent.

Ils entendent une grande voix, du ciel, leur disant : « Montez ici ! » Ils montent au ciel dans la nuée, et leurs ennemis les contemplent.

A cette heure survient un grand séisme : le dixième de la cité tombe, sept mille noms d’hommes sont tués dans le séisme. Le reste est pris de frémissement. Ils rendent gloire à l’Elohim du ciel.

Le « Oïe », le deuxième, s’en va. Et voici, le « Oïe », le troisième, vient vite.

Le septième ange sonne. Surviennent de grandes voix au ciel. Elles disent : « C’est le royaume de l’univers à notre Adon et à son messie ! »

Les vingt-quatre Anciens, assis en face d’Elohim sur leurs trônes, tombent sur leurs faces et se prosternent devant Elohim, disant : « Nous te remercions, IHVH-Adonaï Elohim Sebaot, l’Etant et l’Etait... Tu as pris le dynamisme, le tien, le grand, et tu commences à régner.

Les nations brûlent et ta brûlure vient, le temps de juger les morts, de donner la rétribution à tes serviteurs inspirés, à tes consacrés, à ceux qui frémissent de ton nom, au petit et au grand, et de détruire ceux qui détruisent la terre. »

Le sanctuaire d’Elohim s’ouvre, celui du ciel. Apparaît le coffre de son pacte dans son sanctuaire. Et c’est des éclairs, des voix, des tonnerres, un séisme, une grande grêle.

Un grand signe apparaît au ciel, une femme enveloppée de soleil. La lune sous ses pieds, et sur sa tête une couronne d’étoiles : douze.

Elle l’a dans le ventre, elle crie de douleur en tourment d’enfanter.

Apparaît un autre signe au ciel. Et voici, un grand dragon, un rouge. Il a des têtes, sept, et des cornes, dix, et sur ses têtes sept diadèmes.

Sa queue traîne le tiers des étoiles du ciel : il les jette sur la terre. Le dragon se tient en face de la femme, prête à enfanter, pour, quand elle aura enfanté, dévorer son enfant.

Elle enfante un fils, un mâle. Il paîtra toutes les nations avec une verge de fer. Son enfant est enlevé vers Elohim et vers son trône.

La femme s’enfuit au désert, où elle a un lieu préparé par Elohim, pour que, là, ils la nourrissent mille deux cent soixante jours.

Et c’est la guerre au ciel. Mikhael et ses messagers font la guerre au dragon. Le dragon et ses messagers guerroient mais ils ne sont pas les plus forts ; leur lieu ne se trouve même plus au ciel.

Il est jeté, le dragon, le grand, le serpent, l’antique, appelé Diable et Satan, l’égareur de l’univers entier. Il est jeté sur la terre et ses messagers sont jetés avec lui.

J’entends une voix forte au ciel. Elle dit : « Maintenant c’est le salut, le dynamisme, et le royaume de notre Elohim, avec la puissance de son messie. L’accusateur de nos frères a été jeté, lui qui les accusait devant notre Elohim jour et nuit.

Ils l’ont vaincu par le sang de l’agneau, par la parole de leur témoignage ; ils n’ont pas aimé leur être jusqu’à la mort.

A cause de cela, exultez, ciels, et vous qui y érigez votre tente. Oïe ! terre, et toi, mer, parce qu’il est tombé vers vous, le diable ! Il écume fort, sachant qu’il a peu de temps.

Quand le dragon se voit jeté à terre, il poursuit la femme qui a enfanté le mâle.

Sont données à la femme les deux ailes du grand aigle, pour qu’elle s’envole au désert, vers son lieu, où elle est nourrie là un temps, des temps et la moitié d’un temps, loin de la face du serpent.

Le serpent jette de sa bouche, derrière la femme, de l’eau comme un fleuve, pour qu’elle soit emportée par le fleuve.

La terre secourt la femme, la terre ouvre sa bouche. Elle engloutit le fleuve que le dragon avait jeté hors de sa bouche.

Le dragon brûle contre la femme. Il s’en va faire la guerre au reste de sa semence, ceux qui gardent les misvot d’Elohim et qui ont le témoignage de Ieshoua.

Il se tient sur le sable de la mer.

Je vois, venant de la mer, une bête monte. Elle a des cornes, dix ; et des têtes, sept. Sur ces cornes, dix diadèmes ; sur ses têtes, les noms de blasphème.

La bête que je vois est semblable à un léopard, ses pieds comme d’un ours, sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donne son dynamisme, son trône, et la grande puissance.

L’une de ses têtes est égorgée à mort, mais la plaie de sa mort se guérit. Toute la terre est étonnée derrière la bête.

Ils se prosternent devant le dragon, parce qu’il a donné puissance à la bête. Ils se prosternent devant la bête et disent : « Qui est semblable à la bête ? Qui peut guerroyer contre elle ? » » (10, 1 à 13, 5)
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