France : les lucifériens vont jouer la confrontation des extrêmes droite et gauche pour la Réinitialisation
En réfléchissant aux politiques actuelles, nous remarquons que l’appareil judiciaire des pays occidentaux a de plus en plus adopté un cadre dans lequel la notion de justice est imbriquée dans une politique purement identitaire, ce qui a pour effet d’enraciner la division en appliquant des quotas qui ne tiennent pas compte du mérite individuel.
Le néo-primitivisme, tel qu’il est observé dans la décadence culturelle actuelle, se manifeste par l’érosion de la mémoire culturelle nationale, la montée de la sauvagerie sociale (c’est traduit en France par des violences quotidiennes dans les villes) et la régression vers des comportements de masse primitifs. Les signes de ce déclin comprennent l’augmentation de l’analphabétisme, la consommation effrénée de drogues, l’influence omniprésente de la musique afro-américaine, l’effondrement des codes sociaux et une atrophie culturelle générale chez les jeunes, aggravée par les tendances nihilistes de l’art et l’influence brutalisante des médias de masse. Que deviendront les valeurs traditionnelles combattues ouvertement par les politiciens mondialistes et par le clergé ouvertement antichrétien de Rome ?
Il est bien trop tôt pour espérer assister à un changement des normes éducatives, au retour de l’enseignement de l’histoire nationale. Il est devenu impossible d’inverser la dégénérescence culturelle et rétablir une identité nationale unifiée, se positionnant comme un correctif nécessaire à l’involution culturelle en cours. Mais une fois que nous serons alors au bout du chaos, les choses changeront avec la grâce de la Providence sans laquelle il n’y a strictement rien à espérer.
Nous allons voir la catégorie de Français déçus, progresser vers le vote étiqueté ‘extrême droite’ ; et en même temps, les lucifériens jouer la partition de la dialectique hégélienne avec le parti mélenchoniste qui va flagorner toujours plus les milieux anti-israéliens et radicaux islamistes. Puis viendra l’inéluctable confrontation… elle permettra à ceux qui rêvent d’une solution humaine, sans prier et supplier le Ciel, de découvrir la naïveté de leurs espérances.
En fait, si vous relisez l’article que nous avons publié sur le faux espoir qu’est Trump, incapable de savoir qui sont les représentants de l’Etat profond (!) anti-américain, on constate que le vrai pouvoir met en scène des éléments politiques en apparence opposés, mais qui permettent finalement de jouer l’agenda recherché par ceux qui servent le Prince de ce monde.
France : les lucifériens vont jouer la confrontation des extrêmes droite et gauche pour la Réinitialisation – Liesidotorg
Et une fois l'élection acquise, ils se rapprocheront pour gouverner ensemble
Parlement européen : Ursula von der Leyen n’exclut pas une alliance de la droite avec le groupe de Giorgia Meloni, ECR avec qui RECONQËTE s'apprête à siéger :
L’actuelle présidente de la Commission européenne, tête de liste du parti PPE pour les élections européennes, participait, à Maastricht, à son premier débat de campagne.
Parlement européen : Ursula von der Leyen n’exclut pas une alliance de la droite avec le groupe de Giorgia Meloni
Le groupe ECR de Reconquete n'a pas présenté de candidat contre Ursula :
Les principaux candidats aux élections européennes se sont affrontés lors du premier débat de la course, négociant notamment sur le Green Deal, la guerre entre Israël et le Hamas, la migration irrégulière, l'intelligence artificielle et TikTok.
A six semaines des élections européennes, les principaux candidats à la présidence de la Commission européennes se sont retrouvés lundi soir à Masstricht aux Pays-Bas pour un premier débat électoral co-organisé par Politico Europe et Studio Europa.
Une heure et demie d'échanges continus, souvent fougueux et passionnés voire parfois maladroits.
Sur scène se trouvaient les "Spitzenkandidaten", les candidats à la présidence de la Commission européenne après les élections de juin : la présidente sortante Ursula von der Leyen (Allemande, Parti populaire européen), Nicolas Schmit (Luxembourgeois, Parti socialiste européen), Marie-Agnes Strack-Zimmermann (Allemande, Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe), Bas Eickhout (Pays-Bas, Parti vert européen), Anders Vistisen (Danois, Parti Identité et Démocratie), Walter Baier (Autrichien, Parti de la gauche européenne), Maylis Roßberg (Allemande, Alliance libre européenne) et Valeriu Ghilețchi (Moldave, Mouvement politique chrétien européen).
Présidence de la Commission européenne : les 3 moments clés du premier débat avec les candidats
La seule éventuelle alternative d’alliance demeure donc bien avec le groupe CRE, absent du paysage politique français, « sauf si Éric Zemmour [ancien candidat d’extrême droite à l’élection présidentielle de 2022] décide de présenter une liste ».
En tout état de cause, les appels du pied de CRE vers le PPE se font de moins en moins discrets. Dans un entretien accordé à EURACTIV Italie, l’eurodéputé de Fratelli d’Italia (groupe CRE) Vincenzo Sofo indiquait que « l’électorat conservateur augmente partout en Europe et demande aux partis concernés de construire une majorité alternative à celle qui existait jusqu’à présent à Bruxelles ».
Pour 2024, M. Sofo appelle les élus du PPE à s’interroger et « décider s’ils veulent sortir d’une certaine ambiguïté », en continuant « à suivre les socialistes et rester attaché à la laisse de la gauche comme ces dernières années ou revenir défendre les valeurs du centre droit qu’ils ont abandonnées ».
Élections européennes 2024 : une alliance PPE-ECR est un « un non-sujet » pour la droite française