Le juge : Nathalie Dutartre .

En 2008 l’affaire de pédophilie qui traîne depuis 20 ans affaire dite l'école en bateau est relancée pour la deuxième fois. Les parties civiles dénoncent l’immobilisme du juge de Fort-de-France. Le dossier est rapatrié pour être instruit à Paris par le juge d’instruction Nathalie Dutartre. Interrogée par "Le Post" celle-ci a une réponse pour le moins ambigue: "Il ne faut pas faire de surinformation car les choses sont assez compliquées. Cela risquerait d’indisposer les autorités."
Il faut faire le ménage de fond en comble et ne rien attendre d'une démocratie dite universelle .

JésusestDieu :
"Mille excuses fr.sourire et Maydways !!!"
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Pas grave :) . Maydways Middleway. J'en profite pour préciser ma pensée à ce dernier. Car bien qu'ayant exprimé de sévères critiques vis-à-vis du pouvoir socialiste actuel et des juges qui sont de fait à sa botte (j'émettais entre autres le concernant l'hypothèse d'une stratégie ciblée de la tension, touchant l'électorat catholique pratiquant, ce dernier lui étant désormais dans l'ensemble très hostile, afin de diviser la Droite et de faire monter le FN, comme l'avait d'ailleurs fait Mitterrand en son temps), je n'ai jamais dit en revanche - contrairement à ce qu'avançait Middleway- que je croyais en la solidité et en la sincérité des convictions chrétiennes des grands partis de Droite actuels (ni d'ailleurs du Centre ou du FN; je pense par ailleurs que Mme Boutin, quelle que soit son éventuelle bonne volonté, a donné une image caricaturale et préjudiciable des catholiques auprès de l'opinion publique) et des hommes politiques les plus en vue de cette tendance politique, qui pour la plupart n'ambitionnent que d'être réélus, d'avoir du pouvoir, d'avoir une place au soleil, et sont prêts pour cela à tous les compromis et calculs cyniques. Cela dit, face aux graves imperfections et à plusieurs maux, il faut choisir les moindres, en conscience.
Les graves crises à tous points de vue qui pointent à l'horizon pour notre pays et notre continent, achèveront peut-être de faire le ménage et de refonder la vie politique sur des bases plus saines. Il est au moins permis de l'espérer. En attendant, le devoir du chrétien est d'intercéder auprès du Ciel pour ses compatriotes et son pays, et d’œuvrer, à la place que Dieu l'a placé au quotidien, à l'avènement réel du Royaume des Cieux de Jésus-Christ, prioritairement à des échelons modestes (famille, paroisse, voisinage, établissements scolaires, commune, associations, voire département, etc.), car les échelons supérieurs sont de nos jours hélas sous la puissante influence d'intérêts et de groupes iniques voire impies.

b) Printemps français 2013

Morceaux choisis

Principes d'action : transgression et non-violence, insolence et pacifisme, humour et détermination !

A tous,
Je vous conseille de lire ce blog surtout ,le passage sur l'Autriche 1955 et les Phillippines
1983.
Si vous pensez après qu'il faut toujours manifester au lieu de prier le Rosaire,qu'il en soit fait selon vos voeux....prier le Rosaire,c'est manifester avec l'aide de Dieu.Et aucun franc-maçon ou autre n'y résiste

rosaireviergemarie.blogspot.fr

@JesusestDieu, Je suis d'accord avec vous, mais la France n'est plus celle de jadis, sans prendre cela en conscience vous faussez vos jugements et vision de la réalité.

Que la France soit en partie déchristianisée n'empêche pas de désapprouver une loi injuste ni de se scandaliser d'un emprisonnement injuste. Je ne comprends pas votre raisonnement

stephane77 20/06/2013 15:27:58
ça se passe comme ça au pays des droits de l'homme .

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Droits Naturels (1789) vs Droits positifs, qui a toujours défendu le "jus-naturalisme" St Thomas d'Aquin, l'école de Salamanque.

blanche52 20/06/2013 15:16:36
@HYK : le Pape qui est le premier des catholiques conseille aux catholiques d'abroger les lois immorales
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Comment UMP? FN?

@JesusestDieu, Je suis d'accord avec vous, mais la France n'est plus celle de jadis, sans prendre cela en conscience vous faussez vos jugements et vision de la réalité.

ça se passe comme ça au pays des droits de l'homme .
Le Pape avait demandé aux parlementaires d'abroger la loi si nécessaire , ce qui encourage à faire pression sur les responsables avec nos différents moyens .
Nicolas est un prisonnier politique , et je ne pense pas que l'idéologie des droits de l'homme et cie vont faire quelque chose contre cette injustice humaine au parfum maçonnique en cette démoncratie.
Nicolas va connaitre la France de demain pendant deux mois .

Si vous êtes catholique, ce doit être aussi votre combat.
- De plus, comme je le soulignais, même une personne qui n'a pas la foi peut conclure, simplement par la raison, que cette loi est déraisonnable (cf. le besoin scientifiquement prouvé qu'a un enfant d'être élevé par un père et une père).
- Vient alors la question sur la manière de protester. Manifester dans la rue est un droit fondamental pour tout citoyen. C'est ce droit qui est actuellement combattu à travers toutes les gardes à vue arbitraires, comme ici pour Nicolas.
- Vient enfin la manière de parler de la condamnation de Nicolas. Il s'agit indubitablement d'une sanction politique destinée à servir d'exemple tant la peine est disproportionnée. Il y a donc injustice flagrante, et aux conséquences terribles puisqu'un séjour en prison est toujours épouvantable. Dès lors, chipoter sur le mot "goulag" qui serait ou non trop fort est ici, ce me semble, complètement déplacé. Navré de vous le dire.

Le mot Goulag est trop connoté cela est contre productif dans votre combat.

Vous n'êtes plus dans un pays catholique, certaines églises sont détruites, car plus personnes pratiquent, l'esprit chrétien dans la vie disparaît petit à petit cela se ressent dans la vie ou les lois. Après la réaction (manifestation) il va être le temps à la réflexion de notre place dans cette société comme jadis sous les Romains.

Vous devriez écouter dans cette vidéo les propos de Jacques Julliard www.youtube.com/watch il est instructif dans une certaine mesure.

Cardinal Burke aux Français : « Continuez à manifester ! »
www.famillechretienne.fr/…/cardinal-burke-…

Le cardinal Raymond Leo Burke, préfet du Tribunal suprême de la signature apostolique, était présent aux journées Evangelium vitae conclues par le pape François le 16 juin à Rome. Il exhorte les catholiques à se mobiliser – y compris dans la rue si nécessaire – pour défendre la famille et la vie.

La défense de la vie est un combat incessant pour l’Église, comme l’atteste entre autres la continuation des journées Evangelium vitae lancées par Jean-Paul II. Où s’enracine cette priorité ?

La loi que la Révélation nous a donnée nous apprend que le premier droit d’un être humain est de vivre. Cette vérité qu’est l’inviolabilité de la vie innocente, est d’autant plus évidente lorsque l’on se souvient que le Christ est mort pour tous les êtres humains, sans exception. Rappelons également la parabole du jugement dernier : « Ce que vous faites au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous le faites » (Matthieu 25,40). Or, ceux qui sont vivants mais qui ne sont pas encore nés, sont les plus petits. C’est pour cela que l’Église appellera toujours à protéger cette vie innocente. De plus, le premier précepte de loi naturelle est de promouvoir et de protéger la vie humaine. Inscrit dans le cœur de chacun, ce précepte est partagé par tout le monde, quelle que soit l’orientation spirituelle.

Une note de la Congrégation pour la doctrine de la foi, signée par le cardinal Ratzinger en 2004, indiquait qu’il ne fallait pas donner la communion aux hommes et femmes politiques catholiques soutenant publiquement l’avortement. Est-elle toujours d’actualité ?

Absolument ! Les hommes politiques qui se disent catholiques, mais qui soutiennent l’avortement en prétendant ne pas vouloir imposer leurs convictions religieuses sont dans l’erreur puisque, ainsi que je l’ai dit, la révélation divine ne vient que confirmer ce que la loi naturelle, accessible à tous, a déjà établi.. Et ceux qui font ouvertement la promotion de l’avortement ne doivent donc pas avoir accès à la sainte communion. Cette règle de discipline canonique est prévue par le Code de droit canonique à l’article 915. Les catholiques doivent savoir manifester leur opposition, y compris dans la rue, lorsque cela est nécessaire.

Quel doit être le rôle de la famille dans le respect de la vie ?

La famille a le premier rôle car ce sont les parents qui doivent apprendre à leurs enfants à respecter la vie humaine et à se respecter eux-mêmes. Dans un deuxième temps, l’éducation religieuse doit préparer les enfants à avoir ce regard. Dans cette optique, la catéchèse est très importante. Pendant des années, la manière d’enseigner le catéchisme aux enfants a été tellement pauvre qu’il y a une nécessité de réaliser un vrai travail sur ce point. J’espère que ce temps où la catéchèse a été appauvrie est révolu. Je me souviens que, lorsque j’étais évêque d’un diocèse, j’ai essayé tant que j’ai pu de remédier à ces problèmes.

Vous êtes préfet du Tribunal suprême de la signature apostolique, qui veille à la bonne administration de la justice ecclésiastique. Qu’en est-il de l’enseignement de l’Église concernant les unions homosexuelles ?

L’enseignement de l’Église est très clair. L’union sexuelle est morale dans le cadre du mariage, celle-ci étant l’expression d’un amour fidèle, permanent et fécond, c’est-à-dire procréatif, entre un homme et une femme. Une note de la Congrégation pour la doctrine de la foi, parue en 2003 et signée par le cardinal Ratzinger, alors préfet de cette même congrégation, condamnait ainsi toute forme de légalisation des unions homosexuelles. La nature nous enseigne que l’homme et la femme sont faits l’un pour l’autre. L’altérité est une condition nécessaire au mariage. Il faut donc comprendre que l’Église catholique n’approuvera jamais les unions homosexuelles, qui ne peuvent être naturellement procréatives.

En France, la loi légalisant le mariage homosexuel a été votée. Que doivent faire les catholiques désormais ?

J’ai suivi le combat des Français contre cette loi. Je peux leur dire ceci : continuez à manifester, continuez à montrer que cette loi est injuste et immorale. L’Église vous soutiendra dans ce combat pour la justice. J’encourage ainsi les prêtres et les évêques à continuer sur cette voie et manifester leur opposition dans la rue si nécessaire. C’est important qu’ils se montrent. Moi-même, il m’est arrivé de manifester, notamment à l’occasion de Marche pour la vie. Dans Evangelium vitae, Jean-Paul II fait référence à la désobéissance civile, c’est dans ce genre de cas que nous devons la pratiquer.

Les parents ont également un travail à effectuer contre ces lois insidieuses. Ils doivent surveiller ce que font leurs enfants. Le pire aujourd’hui est sans nul doute la pornographie. Les parents doivent faire attention notamment lorsque les enfants utilisent l’ordinateur et regardent des choses dont ils ne mesurent pas les effets et qui font beaucoup de mal.

Comment préserver les enfants de ces dérives sociétales lorsqu’elles s’affichent dans la rue ?

Il faut que les parents essaient de garder leurs enfants loin de tout cela et de leur expliquer ce qui est bien et ce qui est mal. L’école est également un lieu dans lequel il faut s’investir. Il faut notamment que l’enseignement catholique soit encore plus catholique qu’il ne l’est actuellement.

Goulag le mot est connoté, pas vraiment approprié dans ce cas.

Sinon la loi est votée, il faut respecter les lois du pays, c'est le b.a-ba du catholique.

Mille excuses fr.sourire et Maydways !!! J'ai voulu me reconnecter pour vous répondre (j'ai d'ailleurs constaté que j'étais annoncé "en ligne" sans l'être...), et j'ai maladroitement supprimé la vidéo avec tous les commentaires.

De plus, c'est incompréhensible : il m'a été absolument impossible de la remettre. Et la seule fois où j'ai réussi, elle était privée du son !

DEUX POIDS, DEUX MESURES :
A l’approche de la visite du président français François Hollande qui intervient dans un contexte éminemment délicat, la pression s’accentue autour de l’affaire des « Femen » et des appels à leur libération.
Trois militantes « Femen », Pauline, Joséphine et Marguerite ont été incarcérés à quatre mois de prison ferme pour avoir manifesté seins nus alors que l’incertitude plane toujours sur le sort d’Amina, activiste tunisienne, passible de six ans de prison pour avoir tagué le mot « Femen » sur un muret proche d’un cimetière.
Ayant déjà regretté la sévérité de la peine émise à leur encontre, la France est pressée d’agir par un acte fort et symbolique lors de la visite de François Hollande.