L'évêque du dialogue assassiné en Turquie. 1'47 “C’est un fait horrible, nous sommes consternés», a déclaré le Père Federico Lombardi, directeur du Bureau de presse du Saint Siège aussitôt après …Plus
L'évêque du dialogue assassiné en Turquie.
1'47
“C’est un fait horrible, nous sommes consternés», a déclaré le Père Federico Lombardi, directeur du Bureau de presse du Saint Siège aussitôt après avoir appris la nouvelle du meurtre de Mgr Luigi Padovese, le 3 juin à Iskenderun en Turquie.
Vicaire apostolique d’Anatolie et président de la Conférence épiscopale de Turquie, Mgr Padovese aurait été poignardé par son
chauffeur qui souffrait de désordres psychologiques.
Né à Milan il y a 63 ans, père capucin, bibliste et théologien, Luigi Padovese a été professeur de patristique à l’Université pontificale Antonianum dont pendant 16 ans, il a dirigé l’Institut de spiritualité.
“Ce qui est arrivé est terrible, a commenté le Père Lombardi évoquant d’autres faits sanglants en Turquie comme le meurtre, il y a quelques années, du Père Santoro, le prêtre romain assassiné en 2006 alors qu’il était en prière dans l’église de Trébizonde pendant la crise déclenchée par la publication de vignettes sur Mahomet par certains journaux occidentaux.
Homme ouvert au dialogue, pendant les 6 années passées en Turquie, Mgr Padovese a sans cesse travaillé à construire des ponts aussi bien avec les chrétiens orthodoxes qu’avec les croyants musulmans, n’hésitant pas à faire entendre la voix de l’Eglise.
En effet, en plus d’une occasion il avait protesté auprès du gouvernement d’Ankara contre les discriminations endurées par les chrétiens et avait lutté pour obtenir la restitution des églises confisquées.
Il y a deux jours, Mgr Padovese avait rencontré les autorités turques pour discuter des problèmes liés aux minorités chrétiennes avant de se rendre à Chypre pour y accueillir Benoît XVI qui, pendant sa visite, remettra le document de travail du prochain synode spécial pour le Moyen Orient.
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“C’est un fait horrible, nous sommes consternés», a déclaré le Père Federico Lombardi, directeur du Bureau de presse du Saint Siège aussitôt après avoir appris la nouvelle du meurtre de Mgr Luigi Padovese, le 3 juin à Iskenderun en Turquie.
Vicaire apostolique d’Anatolie et président de la Conférence épiscopale de Turquie, Mgr Padovese aurait été poignardé par son
chauffeur qui souffrait de désordres psychologiques.
Né à Milan il y a 63 ans, père capucin, bibliste et théologien, Luigi Padovese a été professeur de patristique à l’Université pontificale Antonianum dont pendant 16 ans, il a dirigé l’Institut de spiritualité.
“Ce qui est arrivé est terrible, a commenté le Père Lombardi évoquant d’autres faits sanglants en Turquie comme le meurtre, il y a quelques années, du Père Santoro, le prêtre romain assassiné en 2006 alors qu’il était en prière dans l’église de Trébizonde pendant la crise déclenchée par la publication de vignettes sur Mahomet par certains journaux occidentaux.
Homme ouvert au dialogue, pendant les 6 années passées en Turquie, Mgr Padovese a sans cesse travaillé à construire des ponts aussi bien avec les chrétiens orthodoxes qu’avec les croyants musulmans, n’hésitant pas à faire entendre la voix de l’Eglise.
En effet, en plus d’une occasion il avait protesté auprès du gouvernement d’Ankara contre les discriminations endurées par les chrétiens et avait lutté pour obtenir la restitution des églises confisquées.
Il y a deux jours, Mgr Padovese avait rencontré les autorités turques pour discuter des problèmes liés aux minorités chrétiennes avant de se rendre à Chypre pour y accueillir Benoît XVI qui, pendant sa visite, remettra le document de travail du prochain synode spécial pour le Moyen Orient.
Deo gratias,
“C’est un fait horrible, nous sommes consternés», a déclaré le Père Federico Lombardi, directeur du Bureau de presse du Saint Siège aussitôt après avoir appris la nouvelle du meurtre de Mgr Luigi Padovese, le 3 juin à Iskenderun en Turquie.
Vicaire apostolique d’Anatolie et président de la Conférence épiscopale de Turquie, Mgr Padovese aurait été poignardé par son
chauffeur qui …Plus
Deo gratias,
“C’est un fait horrible, nous sommes consternés», a déclaré le Père Federico Lombardi, directeur du Bureau de presse du Saint Siège aussitôt après avoir appris la nouvelle du meurtre de Mgr Luigi Padovese, le 3 juin à Iskenderun en Turquie.
Vicaire apostolique d’Anatolie et président de la Conférence épiscopale de Turquie, Mgr Padovese aurait été poignardé par son
chauffeur qui souffrait de désordres psychologiques.
Né à Milan il y a 63 ans, père capucin, bibliste et théologien, Luigi Padovese a été professeur de patristique à l’Université pontificale Antonianum dont pendant 16 ans, il a dirigé l’Institut de spiritualité.
“Ce qui est arrivé est terrible, a commenté le Père Lombardi évoquant d’autres faits sanglants en Turquie comme le meurtre, il y a quelques années, du Père Santoro, le prêtre romain assassiné en 2006 alors qu’il était en prière dans l’église de Trébizonde pendant la crise déclenchée par la publication de vignettes sur Mahomet par certains journaux occidentaux.
Homme ouvert au dialogue, pendant les 6 années passées en Turquie, Mgr Padovese a sans cesse travaillé à construire des ponts aussi bien avec les chrétiens orthodoxes qu’avec les croyants musulmans, n’hésitant pas à faire entendre la voix de l’Eglise.
En effet, en plus d’une occasion il avait protesté auprès du gouvernement d’Ankara contre les discriminations endurées par les chrétiens et avait lutté pour obtenir la restitution des églises confisquées.
Il y a deux jours, Mgr Padovese avait rencontré les autorités turques pour discuter des problèmes liés aux minorités chrétiennes avant de se rendre à Chypre pour y accueillir Benoît XVI qui, pendant sa visite, remettra le document de travail du prochain synode spécial pour le Moyen Orient.
“C’est un fait horrible, nous sommes consternés», a déclaré le Père Federico Lombardi, directeur du Bureau de presse du Saint Siège aussitôt après avoir appris la nouvelle du meurtre de Mgr Luigi Padovese, le 3 juin à Iskenderun en Turquie.
Vicaire apostolique d’Anatolie et président de la Conférence épiscopale de Turquie, Mgr Padovese aurait été poignardé par son
chauffeur qui souffrait de désordres psychologiques.
Né à Milan il y a 63 ans, père capucin, bibliste et théologien, Luigi Padovese a été professeur de patristique à l’Université pontificale Antonianum dont pendant 16 ans, il a dirigé l’Institut de spiritualité.
“Ce qui est arrivé est terrible, a commenté le Père Lombardi évoquant d’autres faits sanglants en Turquie comme le meurtre, il y a quelques années, du Père Santoro, le prêtre romain assassiné en 2006 alors qu’il était en prière dans l’église de Trébizonde pendant la crise déclenchée par la publication de vignettes sur Mahomet par certains journaux occidentaux.
Homme ouvert au dialogue, pendant les 6 années passées en Turquie, Mgr Padovese a sans cesse travaillé à construire des ponts aussi bien avec les chrétiens orthodoxes qu’avec les croyants musulmans, n’hésitant pas à faire entendre la voix de l’Eglise.
En effet, en plus d’une occasion il avait protesté auprès du gouvernement d’Ankara contre les discriminations endurées par les chrétiens et avait lutté pour obtenir la restitution des églises confisquées.
Il y a deux jours, Mgr Padovese avait rencontré les autorités turques pour discuter des problèmes liés aux minorités chrétiennes avant de se rendre à Chypre pour y accueillir Benoît XVI qui, pendant sa visite, remettra le document de travail du prochain synode spécial pour le Moyen Orient.